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NOTRE UNE D'AUJOURD'HUI !

COTE D’IVOIRE/LEGISLATIVES 2021 : TOP DEPART DE LA CAMPAGNE DU RHDP A BINGERVILLE
COTE D’IVOIRE/LEGISLATIVES 2021 : TOP DEPART DE LA CAMPAGNE DU RHDP A BINGERVILLE

Vendredi 26 février 2021

« Bingerville d’abord, plus qu’une circonscription, une famille ». C’est le slogan du candidat Issouf Doumbia et de son colistier Jean-Claude Toka qui défendent les couleurs du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) à Bingerville, pour les législatives du 06 mars 2021.

Le député sortant de Bingerville qui a pour principaux atouts ses actions philanthropiques auprès de la jeunesse, des personnes vulnérables, des religieux et des femmes, a choisi le village d’Abatta pour le lancement de sa campagne. Ce fils du peuple Atchan est allé auprès des siens dans l’optique de recueillir protection et bénédiction afin de rempiler.

Cette journée a également été marquée par une série de meeting dans plusieurs quartiers de la commune. Aux quartiers Marchoux, Gbagba, Résidentiel, et Korhogobougou, Issouf Doumbia s’est adressé aux populations dans un discours franc et confiant. Aux bingervillois qui lui avaient accordé leurs suffrages cinq ans auparavant, le candidat du RHDP a promis être leur porte-voix à l’hémicycle, afin de poursuivre ses actions pour l’amélioration de leurs conditions de vie.

A Bingerville commune et sous-préfecture, huit candidats sont dans la course à la législature, dont un pour le compte du RHDP, six indépendants et un candidat au nom du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).

Convaincre les populations de leurs circonscriptions respectives, c’est l’exercice auquel les candidats aux législatives prochaines seront soumis pendant sept jours.  

 

Desokoro


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Proverbe Africain

Ce qu’il faudrait, c’est de toujours concéder à son prochain qu’il a une parcelle de vérité et non pas de me dire que toute la vérité est à moi, à mon pays, à ma race, à ma religion. Amadou Hampâté Bâ

DEPECHES ...

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    Le gouvernement annonce un maillage territorial optimal pour des prévisions météorologiques plus précises.

  • NECROLOGIE

    10/07/2020

    Décès du 1er ministre : le Chef de l’Etat décrète un deuil national de huit jours sur l’étendue du territoire national

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    10/07/2020

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    09/07/2020

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    10/07/2020

    Le schéma directeur de la ville de Yamoussoukro en phase de révision

  • FOOTBALL

    10/07/2020

    En fin de contrat avec le Herta Berlin, Salomon Kalou s’engage avec le club brésilien de Botafogo

Portrait

BIOGRAPHIE AUGUSTIN SIDY DIALLO

Sidy Diallo, ex-président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), est né le 18 juin 1959 dans la commune d’Adjamé en Côte d’Ivoire, a tiré sa révérence le samedi 21 novembre 2020 à Abidjan. Homme d’affaires et président directeur général d’Ivoire Sépulture (IVOSEP), Augustin Sidy Diallo était un passionné de football.

Parrain de plusieurs clubs de football et d’associations sportives, le natif de Djékanou, localité du centre de la Côte d’Ivoire a embrassé le milieu du sport ivoirien en intégrant le Stella Club d’Adjamé, une équipe dont son géniteur, Abdoulaye Diallo fut un membre fondateur.

Avec le Stella club, il va remporter la coupe de l’Union des Fédérations Ouest Africaines de Football (UFOA) en 1981.
Ancien collaborateur de Dieng Ousseynou et de Jacques Anouma, Sidy Diallo a occupé, de 1991 à 1994, puis de 2002 à 2006, le poste de vice-président, avant de prendre les rênes de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) en 2011. Il va être réélu quatre ans plus tard.
Bosseur infatigable, il a remporté plusieurs titres avec les sélections ivoiriennes depuis son entrée à la faîtière en 1991, notamment la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 1992 au Sénégal, son tout premier avec les Eléphants au poste de vice-président.
En outre durant sa mandature, il a gagné deux CAN, l'une avec les seniors en 2015, l'autre avec les cadets en 2013, avec la participation de la Côte d'Ivoire au Mondial 2014 au Brésil. En 2006 en Egypte, il a manqué d’offrir le deuxième trophée de la CAN des seniors à la Côte d’Ivoire.

En fin de mandat, cet amoureux du ballon rond devait rendre le tablier depuis le mois d’août 2020.

Déclaré positif au Covid-19 le 09 novembre 2020, Augustin Sidy Diallo va passer l’arme à gauche dans une clinique aux bords de la lagune Ebrié alors qu’il observait sa quarantaine.

L’ex-président de la Fédération Ivoirienne de Football a été inhumé le vendredi 27 novembre 2020 au cimetière de Williamsville dans la commune d’Abidjan.


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Trajectoire

LYCEE D’EXCELLENCE DE GRAND-BASSAM, NE DE LA COOPERATION IVOIRO-CHINOISE, LE VIVIER DE L’EXCELLENCE EN COTE D’IVOIRE

Situé sur l’autoroute Abidjan-Grand-Bassam, le Lycée d’Excellence Alassane Ouattara de Grand-Bassam, achevé à 60 %, offrira dès septembre 2019 un cadre studieux de rêve à 1 000 des meilleurs élèves du pays.

Un jour de janvier dernier, il est 9 heures. Le Directeur de Cabinet du ministère de l’Education Nationale de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Assoumou Kabran, visite le chantier. A sept mois de sa livraison, l’établissement a déjà fière allure. Sa haute silhouette est visible de loin. Démarrés en décembre 2017, les travaux avancent. Ils ont atteint un taux d’exécution de 60 % en janvier 2019. La structure des bâtiments est achevée à 100 %.

Le chantier grouille. Des ouvriers sont à la tâche. Pêle-mêle, des cartons de carreaux, cadres de portes et fenêtres en aluminium jonchent l’esplanade. Des ronronnements de pelleteuses et bétonneuses, des va-et-vient incessants des monte-charges, etc. dénotent de la course contre la montre pour le respect du délai de livraison de l’ouvrage. D’un coût d’environ 14 milliards de FCFA, le lycée, fruit de la coopération ivoiro-chinoise, couvre 19 hectares, dont 11 bâtis.

L’espace est subdivisé en zones de pédagogie, d’hébergement et d’activités sportives. La zone pédagogique, un ensemble de bâtiments (R+1), va abriter l’administration, huit classes réservées au premier cycle et neuf classes pour le second cycle. On y trouve aussi des bâtiments et salles réservés à des spécialités : Sciences de la Vie et de la Terre, Physique-Chimie, Informatique, Beaux-Arts et Musique. A cela, il faut ajouter une bibliothèque de 100 places et un auditorium.

En termes d’infrastructures sportives, il est prévu un terrain de football avec une piste d’athlétisme. Deux terrains de basket-ball, deux courts de tennis, trois terrains de volley-ball, un gymnase et une piscine olympique font également partie du décor.

Pour l’hébergement, des bâtiments sont prévus pour le personnel d’astreinte, le principal, les censeurs, les filles, les garçons. Le lycée sera doté d’une infirmerie, d’un réfectoire et d’infrastructures hydrauliques, à savoir une station de pompage et un château d’eau.

Source: abidjan.net


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Ma Région / Ma Commune

San Pedro, des atouts économiques à …

San Pedro – Né de la scission du département de Sassandra, le département de San Pedro a été créé par la loi N°85 – 186 du 16 octobre 1985 et est, selon les économistes, le second pôle économique de la Côte d’Ivoire, après Abidjan, disposant de grands atouts de développement économique pour l’ensemble du pays, grâce aux innombrables potentialités de l’activité portuaire, de l’agriculture, de l’agro-industrie et du tourisme.

Situation géographique

Situé dans le Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire, à 368 km à l’Ouest d’Abidjan, le département de San Pedro couvre une superficie de 7 072 Km². Il est limité au nord par le département de Soubré, au sud par l’Océan Atlantique, à l’Ouest par le département de Tabou et à l’Est par le département de Sassandra.

Le relief du département est formé de plateaux et de collines de 600 m d’altitude maximum, de plaines avec un sol constitué de nombreux bas-fonds propices tant aux cultures de rente qu’aux cultures vivrières. La ville même de San Pedro se construit par endroits dans des bas-fonds, sillonnée de rivières, lacs, et bordée par l’Océan Atlantique.

Le climat est de type tropical humide, avec une pluviométrie moyenne de 1740 mm par an, et une température annuelle oscillant entre 26,4 et 27°c.

Démographie

Selon les projections des données du Recensement général de la population et de l’habitat en 2013, la population du département de San Pedro est estimée à 562 000 habitants, dont 140 000 habitent en ville et 422 000 en milieu rural.

Les populations autochtones, très accueillantes, sont minoritaires dans leurs villages. Dans la zone du Bas-Sassandra, comprenant San Pedro, Soubré et Sassandra, l’on dénombre officiellement 42,8% de populations étrangères.

Les populations autochtones de San Pedro sont principalement composées de trois groupes ethniques : Bakwé, Kroumen et winnin.

Leur contacts avec les premiers explorateurs et colons datent de 1460. De façon alternative vont suivre les hollandais au 16ème siècle, les anglais au 19ème siècle, et les français vers la fin du 19ème siècle.

Feu le président Félix Houphouet Boigny, le père de la nation ivoirienne, a décidé avec son gouvernement en 1968 de faire de San Pedro le second pôle économique de la Côte d’Ivoire, par l’aménagement de ce territoire, la construction de la ville de San Pedro, la création d’un port, la mise en place d’infrastructures routières, d’agro-industries. Ce travail a été confié à l’Autorité pour l’aménagement de la région du Sud-Ouest (ARSO), créée par décret en 1969.

L’ARSO a également travaillé à l’insertion de certains déguerpis du barrage de Kossou dans la région du Sud-ouest. Les populations allochtones actuelles ont donc commencé à arriver à San Pedro en 1972, à la suite du déguerpissement de Kossou. Elles sont composées essentiellement des Baoulé et des wan. Le déplacement de la boucle du cacao dans la région du sud-ouest a également entrainé un afflux d’allochtones ivoiriens et d’étrangers de la sous-région ouest-africaine.

Infrastructures

Le département de San Pedro dispose de 1867 km de routes dont 199 km revêtues, 1657 km en terre et 11 km de voirie revêtue.

En hydraulique le département enregistre 168 pièces dont 20 pompes d’hydrauliques villageoises améliorées et 142 pompes à motricité humaine.

Religion, sport et culture

La ferveur religieuse est palpable dans le département de San Pedro, où de nombreuses communautés chrétiennes catholiques, protestantes, musulmanes et animistes vivent ensemble dans un esprit de respect mutuel et de tolérance religieuse.
L’église catholique compte de nombreuses paroisses et chapelles. Elle a été érigée en Diocèse en 1989 par scission de celle de Gagnoa, et s’apprête à construire une cathédrale.

A côté du harrisme où se retrouve un grand nombre d’autochtones de San Pedro, les méthodistes, pentecôtistes, célestes, évangéliques, et les chrétiens du réveil font partie de la grande communauté chrétienne du département.

La religion musulmane très vivante dispose de nombreuses mosquées dans les villes et villages du département.

L’animisme, surtout dans les villages, est la religion première de la plupart des populations qui progressivement se convertissent aux religions révélées.

En sport San Pedro dispose de 10 stades de football dont le plus grand est le stade de football ‘’Auguste Denise’’, où évolue l’équipe championne de Côte d’Ivoire, le Séwé sport. Il existe six terrains de baskett-ball, huit de hand-ball, cinq de volley-ball et un de tennis. Les arts martiaux, surtout le karaté, la boxe sont pratiqués avec des clubs qui prennent part aux compétitions nationales.

Quatre centres culturels et huit bibliothèques dont une de l’Alliance française sont concentrées dans les villes de San Pedro et de Grand-Béréby. La population cosmopolite de San Pedro offre une diversité de cultures permettant d’apprécier, au plan de la musique et de la danse, le Bolo des Kroumen, le goly des Wan et des Baoulé, le Goumé des Malinké, de même que les riches danses des Yoruba du Benin, et des Mossi du Burkina faso.

Services publics

Préfecture, sous-préfectures, communes
Chef-lieu de région, San Pedro abrite une préfecture de région qui reste à construire dans des bâtiments dignes des performances économiques de la région et du département. Les services de la préfecture de région et ceux de la sous-préfecture centrale de San Pedro partagent le même bâtiment, peu espacé, mais construit dans une grande cours.

Depuis dix ans les travaux de construction du nouveau bâtiment de la préfecture de région, au quartier Balmer, sont arrêtés. L’actuel préfet de région et du département est Coulibaly Ousmane.

Le département de San Pedro est composé de cinq (05) sous-préfectures, notamment San Pedro, Grand-Béréby, Gabiadji, Doba et Dobgo. Il totalise 122 villages. L’on compte dans le département deux (2) communes : San Pedro et Grand-Béréby.

Plusieurs directions régionales sont implantées à San Pedro, notamment celles des Eaux et forêts, des Infrastructures économiques, du Commerce, des Affaires sociales, de l’Agriculture, de la Fonction publique, du Transport, du Tourisme, de la Culture et de la francophonie, etc.

Santé

Une direction régionale de la Santé et de la Lutte contre le sida et un district sanitaire ont en charge la gestion de la santé des populations du département. Des infrastructures sanitaires publiques et privées de différents niveaux reçoivent les populations dans les villes et certains villages du département, allant du Centre hospitalier régional (CHR), des cliniques modernes aux centres ruraux de santé.

De même, de nombreuses pharmacies privées dans les quartiers des villes et dans certains villages permettent l’accès des populations aux médicaments.

Education

Des écoles publiques et privées de l’enseignement primaire, secondaire général, de l’enseignement secondaire technique et professionnel ainsi que des écoles ou instituts supérieurs forment de nombreux élèves et étudiants.

Selon l’inspection de l’enseignement primaire de San Pedro, l’on y dénombre 168 écoles dont 23 privées.
Dans le secondaire public sept lycées et collèges publics sont enregistrés à San Pedro, Grand-Béréby, et Gabiadji, pendant que l’on compte dans le privé une dizaine de collèges.

Sécurité

Au niveau sécuritaire le département dispose d’une préfecture de police, et deux arrondissements dont un au quartier ‘’Cité’’ et le second au quartier Bardot. Une légion de gendarmerie, la 5ème du pays, permet de sécuriser l’ensemble du territoire de la région avec quatre brigades, dont une au port de San Pedro.

Un camp militaire des Forces républicaines de Côte d’Ivoire est basé à San Pedro, notamment le Bataillon de sécurisation du Sud-Ouest (BSSO).

Un commandement de la marine, des directions régionales des Eaux et forêts et de la Douane sont présentes dans le département de San Pedro pour renforcer la sécurité dans d’autres secteurs.

Economie

L’activité économique qu’elle soit du secteur primaire, secondaire ou tertiaire, est soutenue par les activités du Port autonome de San Pedro (PASP). La croissance du PASP et l’évolution du département de San Pedro sont intimement liées.

C’est dans les années 60 que le gouvernement ivoirien a décidé de faire de San Pedro un pôle économique important à travers un programme ambitieux dit ‘’opération San Pedro’’. Ce programme avait pour objectifs la construction d’un port en eau profonde, la création d’une nouvelle ville, à savoir San Pedro, la création de grandes unités agricoles et des agro-industries.

La création d’un réseau routier reliant cet ensemble économique aux régions de l’hinterland national et aux pays limitrophes, faisait partie du programme qui a donné un grand coup de pouce à l’économie de la région du sud-ouest, devenue florissante grâce au PASP.

Agriculture et environnement

Le démarrage des activités du PASP en 1971 a favorisé le développement de vastes plantations agricoles, surtout pour les cultures pérennes, aidant au développement économique du département, mais affectant aussi le couvert forestier.

Cultures vivrières

Les cultures vivrières telles que l’igname, la patate, le manioc, le riz, le maïs, et les légumineuses, notamment l’aubergine, le gombo, le piment, le chou, le concombre, et la laitue sont pratiquées principalement par les femmes. Cependant, selon l’Office d’aide à la commercialisation du vivrier (OCPV), 75% des besoins alimentaires du département de San Pedro sont fournies par les autres régions productrices de la Côte d’Ivoire, notamment la banane plantain, le riz, l’igname, le manioc, les fruits et légumes, qui viennent pour la plupart des régions de Daloa, Soubré, Korhogo, Bouaké et Abidjan.

Cultures pérennes

Les plantations d’hévéa, de palmier à huile, de cacao et de café occupent de grands espaces dans le secteur agricole du département de San Pedro, posant parfois de graves atteintes à l’équilibre écologique de la région par des intrusions dans des forêts classées et parcs nationaux. Le département compte 255,5 ha de forêts classées à San Pedro, Rapides Grah, et dans la Haute Dodo.

Pour la campagne de cacao 2013-2014 le département de San Pedro, selon la délégation du Conseil de café-cacao, a commercialisé 170 000 tonnes de cacao et enregistré 24 acheteurs, 262 coopératives de base et 187 pisteurs pour 389 magasins codifiés.

L’exploitation forestière a aussi affecté le couvert forestier du département avec la présence de plusieurs opérateurs de scieries, notamment African industries, Bois et sciages d’Abidjan, SOFIBEX, Sciages et Moulure de Côte d’Ivoire, etc.

A côté du couvert forestier qui diminue considérablement, le phénomène de l’érosion marine commence à affecter les terres côtières de San Pedro.
La pratique de l’élevage et de la pêche ne sont pas encore des activités dominantes pour les populations dans le département, même si la l’on observe une croissance d’activité dans ces secteurs.

Place du PASP dans les activités économiques

Depuis 1971 le Port autonome de San Pedro a vu ses activités s’accroître et se diversifier avec une communauté portuaire crée en 1997 et qui s’agrandit de plus en plus. Une quarantaine d’entreprises et administrations concourent à l’activité du port, notamment des armateurs, des consignataires des navires, des agents maritimes, des manutentionnaires, des organisations de transport et des chargeurs, des industriels et prestataires divers (pilotage, remorquage, stockage, assurance, hôtellerie).

Plusieurs unités agro-industrielles de transformation du bois, de cacao, d’hévéa, palmier à huile se sont installées à San Pedro en raison de la présence du port qui facilite l’exportation de leurs production. Dans le secteur de l’hévéa l’on a la SAPH, la SCASO, la SOGB et EXACT. UNICO, SACO, CHOCO IVOIRE interviennent dans la production de chocolat pour la consommation intérieure et l’exportation. Dans l’huilerie, la SIPEFCI et PALMCI occupent une place de choix avec de grandes plantations et unités de production industrielle.

Le port de San Pedro représente le premier port au monde exportateur de cacao. La Côte d’Ivoire, premier pays producteurs de fèves de cacao réalise en moyenne 1 300 000 tonnes.

La croissance des activités du PASP laisse de grandes perspectives et possibilités de développement pour le port lui-même, mais également pour le département et le pays. Le PASP a connu de 2012 à 2014 une croissance de 285%, passant d’un trafic de 1,2 millions de tonnes à 4,7 millions de tonnes.

Le projet d’extension du domaine portuaire sur 150 ha, la diversification de son trafic avec un terminal pétrolier, la construction de voies ferroviaires, le stockage et le transport de manganèse, de fer, et le développement de partenariats avec certains ports d’Afrique et d’Europe, laissent entrevoir une croissance exponentielle dans les prochaines décennies pour l’ensemble du Sud-ouest de la Côte d’Ivoire et pour toute l’économie ivoirienne.

Le secteur touristique déjà prometteur va également connaître une embellie, grâce à ce potentiel économique que représentent l’activité portuaire, l’agro-industrie et la réouverture de l’aéroport de San Pedro. Les belles plages de Monogaga (San Pedro), de Dawa (Grand-Béréby) et l’important dispositif hôtelier, sont déjà des atouts qui ont fait connaître le département à de nombreux touristes dans un passés récents.

En définitive, le foncier rural, lié à l’afflux de populations allochtones et étrangères, reste un défi majeur à gérer pour créer un climat de plus grande confiance pour l’ensemble des opérateurs économiques et les populations de San Pedro. Cela contribuera à faciliter la réalisation des grands projets du gouvernement si les cadres de la région savent s’unir autour des enjeux économiques et sociaux, au-delà des clivages politiques, et ethniques.

San Pedro peut être un grand laboratoire de l’émergence de la Côte d’Ivoire si tous les projets annoncés commencent maintenant la phase active de leur réalisation.

La construction d’un tribunal, d’une prison, d’une université, d’un centre hospitalier universitaire (CHU) avec en plus une voirie entièrement refaite et étendue, donneront à la métropole de San Pedro le visage que le second pôle économique du pays mérite d’avoir.

Source : Aip.ci


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Arrêt sur images

Showbiz

LES LAMPIONS SE SONT ETEINTS SUR LA DOUZIEME EDITION DU FESTIVAL DES MUSIQUES URBAINES D’ANOUMABO

La douzième édition du festival des musiques urbaines d'Anoumabo (FEMUA), l'un des plus grands festivals de l'Afrique subsaharienne, s'est achevée dans la nuit de dimanche à lundi, à Gagnoa dans le Centre-ouest ivoirien par un grand concert de clôture précédé de l'inauguration d'une école primaire publique (EPP) baptisée « Magic System ».

Cette école primaire publique, construite dans le village de Bayekou Bassi dans la localité de Gagnoa et offerte par la Fondation Magic System, a été inaugurée dans une ambiance festive par le mythique groupe musical ivoirien Magic System en présence du célèbre rappeur franco-ivoirien Kaaris qui est originaire de cette région (Gagnoa).

Un concert live donné par plusieurs artistes en vogue dont Molière, Claire Bailly, Kerozen et Kaaris a clôturé, à Gagnoa dans la soirée de dimanche, ce festival qui a débuté mardi dernier.

Dans une ambiance électrique, ces artistes-chanteurs ont égayé les mélomanes de cette ville jusqu'au petit matin. « Merci Gagnoa. J'ai rêvé d'être là. Je vous aime les frères. On est ensemble comme jamais », a dit au public avec une voie empreinte d'émotion au terme de sa prestation, le rappeur Kaaris qui a joué pour la première fois devant les siens.

Le FEMUA, organisé chaque année par le groupe musical ivoirien Magic System, est l'un des plus grands festivals de la sous-région. Cette douzième édition qui s'est ouverte le mardi 23 Avril  à Abidjan autour du thème « Genre et développement », avait pour pays invité d'honneur, le Burkina Faso.

Plusieurs activités ont meublé ce festival dont des concerts, des panels thématiques et des journées culturelles. Seize artistes-chanteurs venus d'horizon divers, dont la diva de la musique malienne, Oumou Sangaré et le célèbre rappeur franco-ivoirien Kaaris, ont animé les grandes scènes du FEMUA 2019.

 

Source : abidjan.net


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SECRETS DE FEMME

SEXUALITE/CUNNILINGUS : CE QU'IL FAUT VÉRIFIER AVANT DE LE FAIRE

Le cunnilingus (ou cunnilinctus) est une pratique sexuelle buccale qui consiste à stimuler les différentes parties des organes génitaux de la femme à l'aide de la langue, des lèvres ou du nez. Il est de plus en plus réalisé en guise de préliminaires, il donne d’intenses orgasmes… mais il mérite de ne pas être abordé à la vite ou pour "faire comme tout le monde". Voici les questions à se poser avant un cunnilingus pour éviter le fiasco !

Etes-vous propre… mais pas trop ?


"Quand les femmes appréhendent avant un cunnilingus c’est le plus souvent à cause de la peur de susciter du dégoût, d’être sale" explique la sexologue Marie Bareaud. Aussi il peut leur venir à l’idée de nettoyer la zone vaginale pour être sûre d’être impeccable le moment venu. Mais il ne faut pas abuser. "Le vagin contient ce qu’il faut pour faire sa propre toilette, rappelle la spécialiste, il peut être plus propre qu’une bouche." De plus la flore vaginale n’apprécie pas le savon et l’homme peut être dérangé par l’odeur non naturelle du corps de sa partenaire. Il ne faut donc pas se laver avec plusieurs produits ou absolument se nettoyer juste avant un cunnilingus mais plutôt assurer un minimum d’hygiène au quotidien. Il faut par ailleurs être vigilante en cas d’odeurs anormales au niveau du vagin ou de pertes plus abondantes que d’habitude. Il s’agit peut-être d’une mycose ou d’une infection qui rendrait l’acte sexuel dangereux. Dans le doute, on s’abstient et on prend rendez-vous chez un médecin généraliste ou un gynécologue.

Techniques, positions : êtes-vous calé(e) ?

La meilleure technique pour réussir un cunnilingus ? Pour avoir un orgasme pendant un cunnilingus ? Il n’y en a pas. "On voit des applications pour apprendre à faire un cunnilingus, ça ne sera pas la même chose qu’en vrai, rappelle Marie Bareaud. Si la personne qui donne a envie, elle va savourer et être douée, elle sera subtile, gourmande et saura faire." La femme peut aussi guider son partenaire. La meilleure position ? La plus simple. "C’est un moment où la femme doit lâcher prise. Dans une position allongée avec les jambes repliées, elle aura beaucoup plus de ressentis que si elle se suspend à quelque chose ou joue les acrobates comme on peut le lire parfois » détaille notre interlocutrice. Il faut donc privilégier les positions qui favorisent la détente féminine.
Pas de pression : "Certaines femmes se mettent la pression sur le fait de jouir rapidement. Or plus ça dure plus c’est bon, on peut donc oser faire durer le plaisir et pourquoi pas faire un cunnilingus pendant 20 minutes sans souci."

En avez-vous vraiment envie ?

Si le cunnilingus est une pratique sexuelle de moins en moins taboue, il ne doit pas être pratiqué "parce que tout le monde le fait". "Le désir est capital, insiste Marie Bareaud. Le désir de celui qui donne et de celle qui reçoit."


Celui qui donne : "Il doit vraiment se demander s’il le fait pour faire plaisir ou pour le donner. Si l’homme n’est pas très partant, une petite minute de dégout peut suffire à vraiment faire mal à la relation. De plus s’il se force, son corps va dire non et il risque d’être un piètre amant."


Celle qui reçoit : "Pour une femme, un cunnilingus c’est une mise en vulnérabilité, de par la position déjà puisqu’elle a les jambes écartées, souligne la sexologue. Elle doit avoir envie de recevoir et pas de le faire pour faire plaisir à l’autre. Or certaines femmes ne savent pas si elles ont envie de le faire avant de le faire, elles ne se posent pas suffisamment la question parce qu’elles se sentent comme obligées pour paraître libérées. Toutes ces considérations viennent impacter le consentement et l’altérer. Un cunnilingus se reçoit pour vivre du plaisir et avoir un orgasme, c’est le seul objectif. Ce n’est pas pour prouver à son partenaire qu’on est une super amante."


Comment savoir si on a envie de recevoir ?

"Cela demande parfois un apprentissage, il faut prendre le temps de sentir que tout ce que je fais dans mon quotidien, je ne le fais pas pour faire plaisir mais pour me faire plaisir, parce que j’en ai envie, et savoir dire non quand je n’ai pas envie."


Et si pendant le cunnilingus, on n’a plus envie ?

"A tout moment, c’est important de garder la liberté de dire non, je n’ai plus envie, je n’arrive pas à me laisser aller… C’est plus facile à vivre dans un climat de confiance." De même, simuler pour faire plaisir et accélérer les choses est rarement respectueux de soi.


A noter : La question d’avoir envie de recevoir un cunnilingus mérite d’être posée à chaque nouveau partenaire car comme l’explique la spécialiste : "Ce n’est pas parce qu’on en a envie avec un homme qu’on en aura envie avec un autre."

Pas de bouton de fièvre ou d’herpès génital ?

Les pratiques sexuelles orales – qu’ils s’agissent de la fellation ou du cunnilingus – sont des vecteurs d’infections sexuellement transmissibles. Parmi ces infections : l’herpès. "Si l’homme a un bouton de fièvre, la femme pourra le contracter au niveau du sexe" explique Marie Bareaud. A l’inverse, une femme qui a de l’herpès génital peut le transmettre à la zone buccale de l’homme, même en dehors des crises. La crise d'herpès se manifeste par des vésicules remplies de liquide. Elles sont associées à une sensation de brûlure très désagréable. Le problème, c'est que les crises peuvent récidiver car on ne sait pas éradiquer le virus hors de l'organisme.

La technique du préservatif découpé : En cas de doute, il faut utiliser un préservatif découpé (dérouler un préservatif après l’avoir sorti de son emballage, couper ses extrémités avec des ciseaux désinfectés et le découper dans la longueur, placer la partie lubrifiée contre le sexe de la femme et la bouche de l’autre côté) ou digue dentaire (carré de latex à placer entre la bouche et la vulve, disponible dans certaines pharmacies ou sur Internet).

Vous n’avez pas vos règles ?

Sachez-le mesdames : pendant les règles, "les transmissions des virus peuvent se faire beaucoup plus facilement ce qui vaut lors du cunnilingus" rappelle Marie Bareaud. Parmi ces virus : ceux de l’hépatite B, de l’hépatite C, du VIH, de la syphilis, de la blennorragie (ou gonorrhée) et du HPV. En dehors du risque médical que peut représenter la pratique du cunnilingus pendant les règles il y a aussi le malaise qu’une telle pratique peut créer. "Pour la femme, ce n’est pas le meilleur moment en terme d’énergie et pour l’homme, le sang peut le dégoûter" explique la sexologue qui préconise de reporter ce moment intime en dehors de cette période.

Cunnilingus et Sida : un risque ou pas ?

Oui il existe un risque de transmission du virus du Sida lors de la pratique d’un cunnilingus mais il est considéré comme faible. La muqueuse de la bouche est moins fragile que celle de l’anus, du vagin ou du gland, les risques sont donc différents pour ces pratiques. La salive ne transmet pas le VIH. Le virus peut par contre être présent dans le sang (ce qui augmente le risque de transmission si le cunnilingus est pratiqué pendant les règles) et les sécrétions vaginales.

En cas de doute, il faut se protéger avec un préservatif découpé (dérouler un préservatif après l’avoir sorti de son emballage, couper ses extrémités avec des ciseaux désinfectés et le découper dans la longueur, placer la partie lubrifiée contre le sexe de la femme et la bouche de l’autre côté) ou une digue dentaire (carré de latex à placer entre la bouche et la vulve, disponible dans certaines pharmacies ou sur Internet).

Source medisite.fr

 

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MODE ...

COMMENT S’HABILLER POUR UNE PRISE DE PAROLES EN PUBLIC ?

La prise de parole en public est un exercice très important. Vous savez qu’aujourd’hui dans les entreprises, la prise de parole devient une réalité au quotidien. C’est essentiel de savoir communiquer. Le contenu de votre discours est certes important, mais cela ne suffit pas. 55% de votre communication repose sur le visuel, le non verbal : la gestuelle, le regard, l’expression du visage, comment vous êtes habillée, la posture… Seulement 7% de votre communication passe par les mots. Cela ne veut pas dire que si vous êtes super bien habillée vous pouvez raconter des conneries. Il faut les deux. Il faut savoir maintenir le public avec vous. Il ne suffit pas de captiver l’attention au départ, après il faut la maintenir tout au long du discours. 

Le choix des couleurs est la première chose. La couleur bleu marine n’est pas une bonne idée pour la prise de parole en public.

Pourquoi ? Le bleu marine a tendance à bercer le cerveau. C’est la couleur qui calme. Alors que là, on a besoin de stimuler le cerveau et où est ce qu’on va chercher cette énergie ? On va aller la chercher dans des couleurs plus vives comme le rouge par exemple. Cela évitera de bercer le cerveau de votre public avec votre présentation de chiffres du dernier trimestre. La couleur va vous aider à maintenir l’audience éveillée. Vous pouvez aussi vous permettre des petits imprimés ou détails de couleur qui viennent stimuler le cerveau. Quand votre interlocuteur va se sentir fatigué, il va poser son œil sur votre look et ça va le réveiller.
Vous pouvez aussi utiliser les couleurs dans les bijoux, le foulard, un petit bracelet…

Source: soyonselegantes.com

 


 

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A LIRE AUSSI AUJOURD'HUI

BINGERVILLE/ELECTIONS LEGISLATIVES : LE DEPUTE-MAIRE ISSOUF DOUMBIA MANDATE LES CHEFS DE COMMUNAUTES POUR DES ELECTIONS APAISEES


Lundi 22 février 2021

En prélude au scrutin électoral du 06 mars 2021, le député-maire de la commune de Bingerville, multiplient les rencontres avec ses administrés.

Ce lundi 22 février, les chefs des 14 tribus de la communauté Baoulé de Bingerville étaient face à Issouf Doumbia au quartier Blanchon. Au centre de ces échanges empreints de convivialité, des messages de paix et de cohésion sociale.

Le premier magistrat de la commune de Bingerville a exhorté les chefs de communautés à être des relais auprès de leurs populations, afin que les élections législatives du 06 mars prochain se déroulent sans heurts.

Ces leaders communautaires réceptifs au message d’Issouf Doumbia ont pris l’engagement de mener à bien la mission qui leur a été confiée.

Les élections pour la mandature 2021-2025 se tiendront le 06 mars prochain, à cette occasion les populations seront amené à choisir leurs députés devant porter leurs voix à l’hémicycle.

Desokoro

 

 

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BINGERVILLE/ELECTIONS LEGISLATIVES : LE DEPUTE-MAIRE EXHORTE LES JEUNES DE GBAGBA A ETRE DES AMBASSADEURS DE PAIX


Mardi 23 février 2021

Dans le cadre de la tournée initiée par le député-maire de Bingerville pour des élections apaisées, le foyer des jeunes de la ville a abrité ce mardi 23 février, une rencontre avec les jeunes du quartier Gbagba.

Sans langue de bois, Issouf Doumbia et ‘’ses frères’’ ont échangé sur le rôle prépondérant que les jeunes doivent jouer pour des joutes électorales apaisées.

Le député-maire de Bingerville a demandé à chacun des jeunes présents à cette occasion, d’être des ambassadeurs de paix dans leurs communautés respectives, condition sine qua none à la stabilité de leur commune.

A leur tour, les jeunes du quartier Gbagba ont saisi la balle au bond pour formuler des doléances au député-maire. Il s’agit entre autres du financement de projets pour les jeunes,  de la création d’activités génératrices de revenus, de formation pour les jeunes déscolarisés et la multiplication des rencontres d’échanges de ce genre. Des initiatives qui sortiront la jeunesse de Bingerville de l’oisiveté, mère de tous les vices.

Plus tôt dans la journée, ce sont les transporteurs de la ville qu’Issouf Doumbia rencontrait à la gare routière, afin de leur livrer le même message de paix.

Desokoro

 

 


COTE D’IVOIRE/SOCIETE : LES VICTIMES DES CRISES DE 2002 A 2011 BIENTOT PRISES EN CHARGE PAR LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE


Jeudi 14 janvier 2021

L’assistance aux victimes des crises allant de la période de  2002 à 2011 était au centre d’une séance de travail entre la Ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté Mariatou Koné et Aude Le Goff, responsable des programmes du fonds de la Cour Pénale Internationale au profit des victimes, ce jeudi 14 janvier 2021.

En filigrane, le lancement prochain du programme d'assistance de la Cour Pénale Internationale (CPI) à ces victimes. Un programme qui vient en appoint aux actions déjà engagées par l'État au profit de toutes les victimes des crises survenues en Côte d'Ivoire depuis 1990.

Ledit programme englobe 13 incidents qualifiés comme relevant de la Compétence de la CPI et va s'étendre à 4 régions du pays à savoir, le Cavally, le Haut Sassandra, le Guémon et la ville d'Abidjan.

 

Desokoro

COTE D’IVOIRE/ELECTIONS LEGISLATIVES : LA CEI PRESENTE LE MODE OPERATOIRE DU SCRUTIN


Mardi 23 février 2021

Le scrutin législatif ivoirien du 06 mars 2021 entre dans sa phase pratique. A cet effet, le mode opératoire des élections législatives prochaines a été présenté ce mardi lors d’un atelier, aux candidats retenus pour cette élection. Il s’agissait à travers cet atelier initié par la Commission électorale indépendante (CEI), d’expliquer toutes les règles qui déterminent l’exécution de cette élection aux candidats, afin de lever toute équivoque. Une rencontre qui a enregistré la présence de Carole Flore-Smereczniak, la représentante résidente du Programme des Nations-Unies (PNUD) en Côte d’Ivoire.

A cette occasion, le président de la CEI, Ibrahime Kuibiert Coulibaly, a exhorté les candidats aux législatives du 06 mars à être vigilants, à avoir des représentants dans les bureaux de vote, et à saisir la CEI avant le Conseil Constitutionnel, en cas de contentieux.

Sourou Koné, premier vice-président de la CEI a dans une communication livré le modus operandi de ce scrutin législatif. L’on retient entre autre que : « Le scrutin commence à 08 h et se termine à 18 h (heure locale et GMT). Les membres de la CEI doivent s’abstenir de toute déclaration à la presse... Les bulletins de vote comportant des ratures et dont les choix sont à cheval entre plusieurs candidats sont invalides ».

Cet atelier de formation s’est achevé par la remise de spécimens et d’affiches aux candidats.

La campagne électorale de l’élection législative ivoirienne du 06 mars prochain débutera le 26 février 2021 à 00 h et s’achèvera le 04 mars 2021 à minuit. Pour le scrutin législatif du 06 mars prochain, 255 sièges sont à pourvoir dont 169 dans des circonscriptions uninominales (un seul siège) et 36 dans des circonscriptions où les électeurs votent pour des listes composées d’autant de candidats que de sièges à pourvoir.

 

Source : abidjan.net

COTE D’IVOIRE/ENTREPRENEURIAT : DES START-UP S’UNISSENT POUR PROMOUVOIR LA COMPETITIVITE DES JEUNES ENTREPRISES


Mardi 23 février 2021

La « Côte d’Ivoire Innovation 20 » (CI20), un collège d’entreprises technologiques et innovantes réunies sous forme associative a procédé au lancement officiel de ses activités ce mardi 23 février au siège du Patronat ivoirien à Abidjan-Plateau. Une cérémonie parrainée par le ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes, Mamadou Touré.  

Etre un cadre règlementaire favorable aux investisseurs pour promouvoir la compétitivité des jeunes entreprises ivoiriennes à travers un accès privilégié et maitrisé aux financements et aux marchés, c’est tout le sens de « Côte d’Ivoire Innovation 20 ». Selon le président de cette association, Steven Bedi, l’objectif est de fédérer le meilleur des Start-up de Côte d'Ivoire et d’en être le porte-voix.

Marquant son adhésion à ce projet qui va booster l’employabilité des jeunes, le ministre Mamadou Touré a à cette occasion, annoncé la mise en place un Fonds Spécial de 500 millions de FCFA pour les Start-up ivoiriennes. Aux dires du ministre de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes, cette enveloppe budgétaire représente une aide à l’émergence des Start-up et à accélérer leur croissance.
Ce projet a bénéficié du soutien du Centre du Commerce International (ITC) de l’ONU via l’initiative FastTrackTech.

Source: abidjan.net

 

 

 

 


GUINEE/POLITIQUE : LE PRESIDENT ALPHA CONDE S’ENGAGE A GOUVERNER AUTREMENT DANS L’INTERET DU PEUPLE


Mardi 15 décembre 2020

Alpha Condé, le président guinéen, a prêté serment le 15 décembre 2020 à Conakry pour un troisième mandat. Une cérémonie à laquelle ont pris part plusieurs chefs d’états notamment, les présidents du Burkina Faso, du Ghana, de la Mauritanie, de la Sierra Leone, du Congo-Brazzaville, des Comores et du Tchad.

Dans son discours solennel, le Président guinéen âgé de 82 ans a exhorté ses concitoyens à « oublier le passé qui divise, au profit d’un avenir d’unité et d’espérance ». Il a également promis que son prochain gouvernement s’emploierait de manière ferme à lutter contre la corruption, le clientélisme et le copinage. « Nous voulons désormais gouverner autrement, cela veut dire travailler pour les couches les plus vulnérables. Gouverner autrement, c’est servir le peuple. Les ministres et hauts fonctionnaires doivent être au service du peuple et non à leur service ou à celui de leur famille », a-t-il ajouté.

Le Président Alpha Condé a remporté l’élection présidentielle du 18 octobre 2020 avec 59,50% des voix contre 33,5% pour son challenger Cellou Dalein Diallo.

 

Desokoro

 

 


 
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Interview

Dossier

Développement local/Région de Gbêkê (Côte d'Ivoire) : ‘‘nous allons mettre à profit nos relations pour aider nos populations’’

Le nouveau président du conseil régional de Gbêkê, Mangoua Saraka Jacques a, dans un entretien après son investiture, indiqué ses priorités. Au-delà des attentes des dotations de l’Etat, il a dit mettre à profit son relationnel pour booster le développement de la région pour le bien-être des populations.

Bonjour M. le président. Après votre investiture, place au boulot. Quels sont les grands chantiers auxquels les populations devront s’attendre durant cette mandature ?

Je vous remercie pour cette opportunité que me vous donnez. Je voudrais commencer par dire un grand merci à toutes nos populations de la région de Gbêkê, qui, m’ont fait confiance en me confiant les destinées de notre région. Et merci à mon parti le Pdci-Rda d’avoir fait confiance en me désignant pour le représenter à ces élections. Cette victoire est donc la victoire de la région de Gêkê. Cela dit, pour ce qui fera l’objet de ma mandature, je mettrai en point de mire la réconciliation et l’unité car c’est le socle de tout. Je vais donc créer un environnement pour la cohésion et l’union car nous avons beaucoup de soucis dans ce sens. Tant que cela n’est pas une réalité de ce que nous allons faire ne se réalisera. Je suis prêt à travailler sur la base de la réconciliation et de l’unité de nos populations. Car il faut pour nous, commencer par mettre tout le monde d’accord en les réconciliant. C’est la clé de tout ce que nous allons faire durant notre mandature. Chacun a dû à un moment subi une frustration, c’est vrai, mais il faut que nous comprenions que pour jeter les bases de notre développement nous devons nous unir, nous réconcilier. J’invite donc nos parents de tous les départements à la paix, à la réconciliation, au pardon pour qu’ensemble nous réussissons les nombreux défis qui nous attendent. Notre région est grande et les préoccupations sont nombreuses. J’y ai vécu pratiquement toute une partie de ma vie et de ce fait, je connais les réalités qui sont les nôtres. Mais c’est ensemble que nous allons réussir. En second point c’est l’éducation. Nous avons la chance d’avoir l’enseignement supérieur et nous devons faire en sorte que nos enfants puissent effectuer des études supérieures. Pour ce faire nous allons mettre l’accent sur la réalisation des collèges et lycées de proximité dans les sous-préfectures de la région. Cela permettra de faciliter l’accès à l’école pour nos enfants. Cela évitera le tutorat pour des enfants de 10 à 11 ans qui vont vite au collège.

Après ce sera le problème des routes. Nous sommes en zone rurale et les routes sont très importantes dans notre système. D’ailleurs on a coutume de dire que la route précède le développement et nous, nous sommes dans une zone à forte production agricole. La réalisation d’ouvrages dans ce domaine facilitera l’écoulement des produits vivriers sur les marchés. Ensuite vient l’eau et l’électricité. L’eau est sources de vie car tout ce que nous faisons ce fait avec de l’eau. Dans ce secteur, nous allons redynamiser le système des pompes villageoises. Il y a des villages aujourd’hui qui n’ont même pas une pompe. Or l’eau de rivière, à un moment donné de l’année, finit par tarir et les populations sont dépourvues d’eau. La question de l’électricité va porter sur l’électrification rurale villageoise. Car très souvent quand les villages sont connectés au réseau électrique, les populations finissent par faire déposer leur compteur d’électricité faute de moyens. Nous n’oublions pas la santé. Il nous faudra accroître les centres de santé ruraux dans les villages.

Aujourd’hui le chômage est grandissant dans la région, que comptez-vous faire pour lutter contre cela ?

Bien sûr, nous avons pensé à regrouper les jeunes et les femmes dans les différents départements de la région. On pourra créer des conditions visant leur prise en charge par eux-mêmes. J’ai passé toute ma carrière dans l’agro-industrie et dans notre zone savanicole, il n’existe que des cultures annuelles et non pérennes. La seule culture pérenne c’est la noix de cajou et c’est un nouveau produit pour nous. Nous ne disposons de véritables marchés dans ce secteur car les asiatiques ont pris ce marché. Mais s’il le faut, on fera en sorte de trouver les voies et moyens pour installer ces jeunes qui veulent travailler dans la production de vivriers, y compris les femmes.

Vous avez évoqué bon nombre d’actions à poser pour le développement de la région, mais d’où vous viendront les ressources additionnelles pour la réalisation de celles-ci quand on sait combien l’Etat peine à vous doter de moyens ?

J’ai entendu beaucoup de choses comme quoi si tu n’es pas de mon bord tu n’auras pas de dotation pour fonctionner. Je crois que la Côte d’Ivoire est un Etat qui sait se mettre au-dessus des clivages politiques pour penser son développement. Il n’est écrit nulle part cela et ceux qui le disent n’en ont aucune notion du fonctionnement des choses. Mais j’ai été pendant 10 ans président du conseil général de Béoumi et mes relations à l’étranger m’avaient permis de trouver un certain nombre de choses pour mon département. Je crois il faudra raviver ces relations et cela nous aidera à trouver des financements pour la réalisation d’un bon pan de notre programme de développement dans la région. Nous avons un besoin énorme dans tous les domaines et j’en suis très conscient, c’est pourquoi nous allons tout faire pour mettre à profit ces relations.

Vous évoquiez dans votre discours que la vice-présidence sera tournante, pouvez-vous nous en dire plus ?

Vous savez, la région de Gbêkê regorge d’énormes cadres aussi valeureux les uns les autres. Nous avons voulu que chacun de certains de nos cadres puissent apprendre comment gérer la chose publique. Demain chacun est appelé à gérer une collectivité ou une affaire publique. Et nous, nous estimons qu’en faisant cela, on apprendrait comment fonctionne l’administration ou une collectivité publique.  Par ailleurs, je ne veux pas que nos conseillers soient des conseillers, juste pour des sessions de conseil. Ils doivent pouvoir participer de façon active à la gestion du conseil. Certes tout le monde ne pourra pas exercer cette fonction mais on peut faire en sorte que des cadres par département l’exercent. Si 18 personnes sur les 60 participent en étant vice-président, c’est déjà important. Aussi, je pense qu’il faudra délocaliser les sessions de conseil que j’appelle les sessions tournantes. On le fera dans les départements et mieux, dans les sous-préfectures pour rapprocher les populations de leur collectivité.

Votre mot de fin M. le président ?

Ecoutez, je veux simplement inviter nos populations à la paix, à la cohésion et à l’union car c’est dans l’entente que nous allons réussir le développement de notre région. Je leur dis merci d’avoir voté mon programme de développement. Nous ferons ce que nous savons faire et ce que nous pouvons faire pour donner à notre région ce qu’elle mérite en termes de développement dans tous les secteurs de la vie socioéconomique. Qu’elles nous fassent confiance et qu’elles soient patientes surtout car nous travaillerons pour leur bien-être. Je vous remercie.

M. Ross

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Cameroun : Douala et Yaoundé à l'heure des fêtes de fin d'année

Du "marché de Noël" de Douala et à "Yaoundé en fête", les populations vibrent au rythme des préparatifs de Noël et de la Saint-Sylvestre.
PAR NOTRE CORRESPONDANT À YAOUNDÉ, NESTOR NGA ETOGA
Publié le 24/12/2016 à 11:45 | Le Point Afrique
Douala sous la lumière des fêtes de fin d'année.
 

Douala sous la lumière des fêtes de fin d'année. © Nestor Nga Etoga

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Les rues sont embouteillées. En voiture, à moto ou à pieds, se déplacer dans les deux grandes métropoles camerounaises relève de l'exploit. Entre le travail, les courses pour les cadeaux et la quête des bons condiments pour assurer les plats succulents pour la fête, les populations s'affairent.

Blandine Lena, artiste et mère de trois enfants, vit à Douala. Elle explique : « À quelques heures de la fête, je ne sais pas encore ce qu'on mangera, ni comment je vais habiller les enfants. De même, pour les jouets. Lesquels acheter ? Où ? Comment ? » Et d'ajouter : « J'espère que mon mari et moi pourrons avoir l'argent pour faire face. » Dans les marchés, et souvent en bordure de rues, les articles de la foi et de la spiritualité font concurrence aux gadgets et autres jouets profanes. Dans les supermarchés, les étals sont lourdement achalandés. La clientèle est présente, attirée parfois par des disc-jockeys et leurs haut-parleurs installés à ciel ouvert devant les magasins. Ainsi, au lieu dit « Douche » au quartier Akwa à Douala et au marché Mokolo à Yaoundé. Difficile de tenir une conversation dans un tel tohu-bohu. 

Coquette, souriante, accueillante et prudente

À Douala comme à Yaoundé, chacun des délégués du gouvernement a puisé dans le budget de la communauté pour rendre la ville coquette. Sapins, flocons et guirlandes lumineuses ornent les ronds-points, les jardins publics ainsi que les principales artères de chaque ville. Les autorités en charge de la sécurité ont redoublé d'effectif. La police et la gendarmerie règlent la circulation et veillent aux débordements. Les vendeurs à la sauvette ont pris d'assaut les lieux à forte fréquentation, proposant aux passages jouets, fleurs, chaussures et vêtements pour enfants…

Bonjour l'inflation !

Plus que jamais, Noël et la fête de la Saint-Sylvestre sont au centre des préoccupations des citadins. Du coup, dans les marchés, c'est l'inflation ! Delors Magellan Kamseu Kamgaing, président de la Ligue camerounaise des consommateurs explique que « les fêtes de fin d'année sont devenues l'occasion pour certains commerçants cupides de s'enrichir davantage au détriment du consommateur ». Pour ce défenseur des droits des consommateurs, « on note que c'est un contexte où le consommateur est appauvri et le commerçant s'engraisse ». Delors Magellan Kamseu Kamgaing interpelle les pouvoirs publics pour qu' « ils voient dans quelle mesure empêcher ce flux de marchandises, dont la qualité n'est pas toujours au rendez-vous, et qui n'est pas pour le bien de notre économie ».

Vive le Père Noël !

Les élèves et étudiants sont en congé pour deux semaines depuis vendredi 23 décembre 2016. Dans tous les établissements maternels et primaires, la cérémonie d'arbre de Noël a été célébrée. Le Père Noël est passé plus tôt que d'habitude, offrant aux tout-petits leurs cadeaux. Une période propice pour la plupart des parents d'organiser des balades pour les tout-petits. Les espaces verts, le manège, les foires et autres lieux publics sont pris d'assaut, l'occasion pour les enfants de contempler les jeux de lumières à travers la ville.

À chacun, son menu !

Au-delà des vêtements pour enfants et autres jouets, le marché pour aliments est également très sollicité. Au marché du Mfoundi à Yaoundé, les femmes se bousculent devant les étals, sollicitant au passage poulet, poisson, viande de brousse, plantain, igname…

Noël, fête chrétienne

À la cathédrale de Douala comme à celle de Yaoundé, chaque archevêque a mis en place un programme spécial : confessions, prières, adoration, louanges. Les chapelles ont reçu quelques coups de pinceau. Une décoration spéciale est mise en place pour les crèches qui accueilleront l'Enfant Jésus. Des guirlandes ont été installées, les groupes de chorale rivalisent d'adresse lors des répétitions pour une célébration de Noël en chansons.

À chacun, au rythme de sa bourse

Douala et Yaoundé brillent, idem pour les magasins et les lieux de prière qui connaissent une affluence record en cette période de l'année. Si certains disent être prêts pour la fête, d'autres salariés et fonctionnaires se bousculent encore devant les guichets dans l'espoir que leurs salaires vont être versés. Un moment d'incertitude dans une atmosphère festive...

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